L’actualité de la course au large : vous voulez tout savoir d’une transat ou d’un tour du monde, c’est ici que vous trouverez votre bonheur.

Louis Duc a attendu que sa barre de liaison sèche, Paul Meilhat a écopé toutes les trois heures, Charlie Dalin jugé un moment pas très rapide par ses pairs aurait réglé des problèmes de voile en catimini. Sur chaque bateau encore engagé (4 abandons), techniquement des choses vont mieux et d’autres attendent d’aller mieux. A proximité du point Nemo pour les uns, le cap Horn est déjà derrière pour les premier et ceci marque une forme de libération, un retour sur le terrain de jeu connu. Mais la route est encore longue, et surtout les corps sont meurtris avec de nouvelles pathologies. Heureusement une équipe dévouée de professionnels de la médecine veille et les marins essayent de s’adapter.

Focus avec Laure Jacolot médecin de la course, Damien Seguin (Groupe APICIL) et Romain Attanasio (Fortinet – Best Western).

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Le skipper Jérémie Beyou sur son IMOCA

Envie de faire une pause sur Virtual regatta ? Vous n’avez pas pu venir au village départ du Vendée Globe ? Pour ceux qui ont l’opportunité de venir à Paris ne manquez pas l’exposition consacrée à la course autour du monde en solitaire par le musée de la Marine. Présentation détaillée

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Les 40 skippers engagés sur le Vendée Globe ont pris le départ ce dimanche à 13H03 avec une météo clémente. Les skippers remplaçant sont eux restés à quai. Celui de Yoann Richomme, Yann Eliés membre du team Paprec Arkéa, avait également décrypté la météorologie du départ et anticipé les prochaines 48h. Il peut encore remplacer Yoann pendant dix jours en cas de pépin et de retour au Sables d’Olonne du bateau et incapacité du skipper à repartir.

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Les années se sont changées en mois, les mois en semaines, les semaines en jours et Louis Duc va pouvoir réaliser son rêve dimanche prochain : prendre le départ de son premier Vendée Globe après quatre années de travail acharné. Retour sur son parcours.

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Aperçu du village du vendée globe

Pour célébrer sa 10e édition, le Vendée Globe a inauguré son village Départ le samedi 19 octobre. Accessible jusqu’au dimanche 10 novembre 2024, cet espace de 30 000 m² offre une immersion totale dans l’univers de la course au large. Comparée à une édition 2008 qui avait péniblement rassemblé 20 bateaux et une 2020 sous le joug du covid, celle de 2024 s’annonce exceptionnelle avec 40 bateaux, à l’issue d’une toute nouvelle procédure de qualification.

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ARKEA ULTIM CHALLENGE - BREST 2023

La course au Large connaît une étape importante dans son développement : rêvé, envisagé, reporté puis finalement organisé au départ de Brest donné le 7 janvier 2024, le tour du monde en ULTIM en solitaire est devenu une réalité.

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C’est l’histoire d’un navigateur suisse, d’une équipe resserrée et soudée, portée par une marque iconique de montre de luxe. C’est l’histoire de la course d’une vie : le Vendée Globe. C’est l’histoire d’un rachat de bateau très convoité, l’ancien Hugo Boss d’Alex Thomson conçu spécifiquement pour ce tour du monde en solitaire. Cet IMOCA est sans doute l’un des plus performants de la génération 2020. D’ici le départ dans un an jour pour jour, Bruits de Pontons partagera et fera découvrir le projet, son environnement complet. Également ce que représente cette victoire d’être au départ de l’Everest des mers. Avant cela il reste une qualification à finaliser et en particulier une transat Jacques Vabre à disputer et surtout terminer, à une belle place si possible. Bruits de pontons a pu s’entretenir avec Alan Roura pour une présentation de son projet.

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plusieurs bateaux de voile sont au ponton du village de la transat jacques vabres, le soleil se levant en arrière plan.

… juste les Ultim, les Class40 et Ocean Fifty devant faire un arrêt à Lorient pour éviter un golfe de Gascogne compliqué. Les IMOCA sont restés à quai.
Quel bilan tirer du village dressé sur le bassin Paul Vatine au Havre, moment incontournable de l’évènement ?

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Un bruit de ponton qui pourrait nous faire plaisir aux plus de 800 000 téléspectateurs dimanche dernier : la Transat Jacques Vabre pourrait assurer un départ dimanche 5 novembre dans les mêmes conditions pour la classe Imoca, contrainte de rester à quai une semaine supplémentaire en raison de la tempête Ciaran.

A confirmer !

À moins de trois mois du premier tour du monde en course, en solitaire et en ULTIM, cinq des six concurrents pressentis seront sur la ligne de départ de la Transat Jacques Vabre – Normandie Le Havre. Une course prestigieuse qui contribue à gagner en expérience, en maîtrise et en certitudes avant de se projeter sur l’ARKEA ULTIM CHALLENGE – Brest dont le départ sera donné le 7 janvier prochain.

© polaRYSE / GITANA SA

Les ULTIM amarrés au même ponton, c’est ce que les visiteurs du village de la Transat Jacques Vabre – Normandie Le Havre peuvent admirer depuis la fin de la semaine dernière. Le tableau sera similaire, à partir du 27 décembre prochain, quand ces bateaux géants seront visibles à Brest avant de s’élancer pour un challenge qui s’annonce historique. Alors que quatre marins seulement ont bouclé le tour du monde en solitaire, en multicoque et sans escale, six marins (sous réserve de qualification d’Eric Péron) le tenteront à leur tour dans le cadre de l’ARKEA ULTIM CHALLENGE – Brest (départ le 7 janvier).

Mais avant, ils sont cinq à s’aligner au départ de la Transat Jacques Vabre. Le vainqueur de la dernière édition, Charles Caudrelier (Maxi Edmond de Rothschild), qui sera associé à Erwan Israël, remet son titre en jeu. Le match promet d’être serré avec deux bateaux mis à l’eau il y a deux ans, SVR-Lazartigue (Tom Laperche et François Gabart, 2es en 2021) et le Maxi Banque Populaire XI (Armel Le Cléac’h, cette année associé à Sébastien Josse). Thomas Coville, qui fait équipe avec Thomas Rouxel (Sodebo Ultim 3), vise également la victoire, lui qui a disputé sa première course chez Sodebo il y a 24 ans ! De leur côté, Anthony Marchand et Thierry Chabagny (Actual Ultim 3) auront également à cœur de tirer leur épingle du jeu. A quelques jours du départ qui sera donné dimanche 29 octobre, tous se montrent particulièrement enthousiastes avant d’aborder cette course.

« Ces deux semaines vont nous permettre de monter crescendo »

Elle s’annonce âprement disputée avec 7 500 milles (12 000 km) à parcourir. Les concurrents devront descendre plein sud, franchir l’équateur et traverser le Pot au Noir avant de contourner l’île de l’Ascension et de mettre le cap vers la Martinique. « On a l’Atlantique pour terrain de jeu avec des bateaux rapides, c’est extraordinaire », assure ainsi Tom Laperche.  « Ces deux semaines de transatlantique vont nous permettre de monter crescendo », assure Armel Le Cléac’h.

A bord d’Actual Ultim 3, Thierry Chabagny résume l’état d’esprit d’Anthony Marchand qui semble similaire à celui des autres skippers de la flotte ULTIM : « Anthony fait la part des choses entre cette transat en double et ce qui l’attend ensuite. Il va vivre pleinement cette course, tout en ayant à l’esprit le tour du monde à venir ». Les années de préparation des bateaux et le degré de fiabilisation permettent d’aborder cette transatlantique avec ambition tout en gardant en tête qu’un tour du monde inédit les attend, une poignée de semaines plus tard. Une sorte de montée en puissance grandeur nature pour le plus grand plaisir de tous les amateurs de course au large.


A propos d’OC Sport Pen Duick :

OC Sport Pen Duick est la filiale française du groupe OC Sport en charge des événements de course au large. Créé pour gérer les campagnes sportives d’Eric Tabarly, d’une part, et Dame Ellen MacArthur de l’autre, figures emblématiques du sport international, le groupe perpétue fidèlement l’esprit et les valeurs qui animaient ces pionniers fondateurs : vivre et partager des expériences uniques avec le public, les sportifs et les partenaires.Historiquement engagé dans la course au large, le groupe a développé une expertise unique dans la voile professionnelle en s’appuyant sur un double savoir-faire dans la gestion d’équipes et l’organisation des courses les plus prestigieuses (La Route du Rhum – Destination Guadeloupe, ARKEA ULTIM CHALLENGE – Brest, The Transat CIC, La Solitaire du Figaro Paprec, la Transat Paprec, Le Tour de Belle-île,…). OC Sport Pen Duick est une société du Groupe Télégramme.

A propos de l’ARKEA ULTIM CHALLENGE – Brest :
L’ARKEA ULTIM CHALLENGE – Brest sera le prochain défi océanique le plus extrême jamais réalisé en course : un tour du monde, en solitaire, en Ultim 32/23. Ils seront cinq marins à bord de leur « Géant des mers » à s’élancer de Brest le 7 janvier prochain pour tenter de boucler un tour du monde d’Ouest en Est, par les 3 caps (Bonne-Espérance, Leeuwin et Horn). Un défi humain et technologique hors-normes, 40 à 50 jours durant lesquels les skippers seront soumis à des variations extrêmes de conditions météorologiques et devront composer avec le  vent, les vagues, la houle et les glaces.

La course, son concept et son caractère exceptionnel supposent que cet événement  devienne, dès la première édition, un des rendez-vous majeurs de la course au large et  des manifestations sportives françaises et considéré comme un événement sportif  populaire et médiatique à part entière. 
Cette course est organisée par OC Sport Pen Duick, aux côtés de partenaires engagés : ARKEA, la Ville de Brest, Brest Métropole, la Région Bretagne et le Département du Finistère.